21 mars 2012
Mon éditrice à l’école des loisirs vient de refuser (avec douceur et explications) le roman que j’avais écrit pour la collection medium (ados). Rien de grave en soi, après tout éditeurs et auteurs ne voient pas toujours les choses de la même façon. Je vais le faire lire autour de moi, pour avoir d’autres avis, le retravailler. Et le présenter à d’autres éditeurs. Parfois le destin d’un texte est d’être refusé. Ce n’est pas un arrêt de mort, c’est souvent juste une rencontre qui ne s’est pas faite avec un éditeur.
1. philomène | 22 mars 2012 à 10h28
chaque chose en son temps, oui…
2. noem | 4 avril 2012 à 19h29
Quand c’est un texte long, c’est tellement de travail que ça reste frustrant. Mais recevoir des explications, bonnes ou mauvaises, c’est mieux qu’une lettre type de 5 lignes.
3. Martin | 17 mai 2012 à 00h48
@ philomène & noem : au final, il y a un livre – et les éditeurs aiment parfois parler
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